123. HAPPY TOGETHER [THE TURTLES]
On ne peut rien reprocher au malheureux Adrien ni à quiconque. Les jeunes gens ne sont pas faits pour se projeter sur le long terme, encore moins pour calculer des taux de réussite (ce ne serait pas franchement romantique). Alors, avec une fantastique soif d'aimer et d'être adoré en retour, l'innocente jeunesse boit la chance à la fourchette ! Tous les jours, on voit des individus s'accoupler (se mettre en couple), comme des animaux, en se reniflant voluptueusement le derrière ! Mais aussi délicieuse que puisse en être l'odeur, cela risque de s'avérer un tantinet insuffisant devant les aléas du quotidien. L'être s'accroche sur un détail physique, parfois même sur une simple impression générale favorable, puis multiplient les concessions pour plaire davantage. Pendant ce temps, en silence et dans l'ombre, la catastrophe attend patiemment son heure...
Nous choisissons toujours les comparaisons qui nous arrangent le mieux, mais, finalement, je pense ne pas m'en être trop mal tiré avec l'existence. En tous cas, Mary ne m'a jamais obligé à m'enfermer dans la cave pour écouter mes vieux vinyles des Faces (j'adore quand elle emmêle ses mignons petons en esquissant quelques pas sur les disques de ce groupe magnifiquement foutraque !). Mary m'a sans doute sauvé la vie, elle le sait, mais elle essaye de ne pas trop en profiter ! Même si je pense encore un peu trop souvent à une autre fille (elle ne l'ignore pas, non plus), je n'ai jamais cessé de l'aimer comme au premier jour (et souvent davantage), de la trouver belle, douce, adorable, compréhensive, patiente, intelligente, talentueuse, cultivée et si incroyablement drôle (mettez tout ça dans l'ordre que vous voudrez et sortez les violons !) – ce qui ressemble à un exploit, quand je vois tous les divorces qui se pleuvent autour de nous (sans compter tous ceux qui demeurent liés pour tout un tas de mauvaises raisons).
Je ne suis devenu ni chanteur, ni musicien, ni auteur, pas même manager ou organisateur de concerts. Je suis employé à la Ville de Paris. Chaque matin, je me rends tranquillement à la médiathèque de quartier pour laquelle je travaille, et je ressens toujours un intense plaisir au moment de lancer le premier disque de la journée avant d'aller préparer le café pour mes collègues. Certes, j'ai manqué ma vocation de star (sic !), mais il existe une belle poignée de personnes qui, une à deux fois le mois, traversent la capitale ou viennent de banlieue pour me demander conseil. Il faut dire que j'ai été très consciencieux : au fil des années (il paraît que ce n'est pas très légal, mais c'est pour la bonne cause), j'ai recopié sur cassettes, CD, puis en numérique, la quasi intégralité de notre catalogue, ainsi qu'une bonne partie de celui de la bibliothèque centrale ! Ma préférence va toujours vers le rock, mais, en plusieurs décennies, j'ai eu le temps de tout écouter, et je peux vous conseiller en jazz comme en baroque ou en chants pygmées !
Oui, j'aurais pu, j'aurais du être heureux (je n'ai pas peur du mot). C'était sans compter sur la vengeance qui me mangeait silencieusement le cœur...
27 commentaires:
Très beau vraiment... sur le coup de l'émotion, je ne sais quoi dire d'autre !
Je ne suis pas si difficile, ça me suffit!
Putain, le petit Jimmy a sacrément bien grandi !
Je ne sais pas combien d'années séparent la "trahison" de cet épisode, mais le gaillard a emmagasiné beaucoup de sagesse. Il aurait pu devenir aigri, méchant, jaloux… un vieux con, quoi… mais là, c'est devenu un mec que j'aimerais rencontrer. J'irais même jusqu'à lui payer une tasse dans un petit bistro pour qu'il me raconte son histoire.
Mais je crois bien qu'il l'a déjà fait au fil de ces années, même s'il a un peu transformé la vérité !
Ce chapitre est rempli d'une nostalgie heureuse !
Yo
''If you can't be with the one you love ...'' la suite c'est le titre de la chanson que j'aurais trouvée plus appropriée pour présenter ce chapitre (ouais je me permets tout, paraît que c'est à ça qu'on nous reconnaît):
''Love The One You're With''
La vengeance ! La vengeance ! La Vengeance ! Allez quoi, un peu de sang après tout cet onirisme ...
ça me fait penser à ce bon vieux Gambarten et à ses pensées sur l'esthétisme (c'est lui qui a "néologisé" le mot vers le XVIIII) et sur la science de la connaissance sensible.
l'un des mecs qui a le mieux exprimer la clarté confuse de la subjectivité en art. Il pensait que tout venait du sensible, enfin non il pensait que ce qui venait du sensible était différent de ce qui venait de l'intellect... il a théorisait deux beautés distinctes.
bon après, duchamp et d'autres l'ont fustigé (sans doute à raison, parce que le beau pour le beau et le refus de représenter la laideur ça limite l'art choquant ou revigorant et on tombe vite dans la répétition et le taylorisme artistique) mais cette pensée du sensible revient chez goodman et d'autres... on change le fusil d'épaule, on ne demande plus ce qu'est l'art mais "quand y a-t-il de l'art?" par exemple...
et ce texte me fait penser à tout ça... à la sensibilité.
franchement à lire tous ces chapitres, à sentir qu'on va vers "la fin" et que, du coup, le romanesque (la vengeance) pointe le bout de son nez de manière plus évidente (que d'autres fois) sans que cela foute en l'air l'esthétique de l'ensemble.
je me dis que le sensible a encore de beaux restes.
je débarque
c'est-quoi le feuilleton électrique
une mouvance de textes genre nouveau nouveau bis cyber
mais étant un uber con dixit mr tourshmr il faut m'expliquer
désolé pour le texte précédent mais j'ai dit ma désapprobation et au vue des commentaires qui s'en suivirent
le feuilleton électrique serait une sorte de cadavres exquis entre internaunes via la musique
intéressant
Romain
Tu sais parler d'amour Jimmy !
Et cette vaste ellipse temporelle crée un effet saisissant, mettant l'imagination en mouvement et prouvant une fois encore que "moins, c'est plus" !
@ projectobject
Tu fais bien de préciser que "tu débarques" ! On a tous débarqué un jour ou l'autre !!! Ceci explique d'ailleurs ta somptueuse question "c'est quoi le feuilleton électrique ?".
Sache, mon jeune ami, que "Pour la beauté du geste" est un roman-feuilleton riche de 123 épisodes (à ce jour) qui est né dans le regretté Club des Mangeurs de Disques, il y a déjà plusieurs années.
Nous sommes des dizaines, peut-être même des centaines à attendre chaque semaine la suite des aventures de notre héros mélomane Jimmy Koole.
Voilà ! Voilà !
Romain (?),
Que vois-je? Un message envoyé par un certain... Projectobject! A force de faire mumuse avec les pseudos, tu as fini par poster ton commentaire avec le mauvais compte. C'est tellement moche que je peine à y croire. Comment peux-tu salir mon projet le plus personnel, donc celui qui me tient le plus à cœur, avec de telles bêtises? Tiens, toi qui es devenu fan du changement de nom, j'en ai un autre: ProjectAbject. S'il te reste un semblant de dignité, disparaît de mon blog au plus vite.
Hello Keith,
Comme nous le verrons au prochain chapitre, Jimmy Koule manque encore considérablement de sagesse, et la nostalgie ne sera pas toujours des plus heureuse.
Hi Everett,
Merci pour la proposition, mais je tenais absolument que le mot: "Happy" apparaisse en tête de ce chapitre. Il faut oser, il n'y a pas de mal. Le sang arrive avec d'autres surprises...
Hola Yggdralivre,
Ton commentaire me rappelle une phrase de Louis-Ferdinand Céline qui m'a beaucoup marquée: "On dit: "au commencement était le verbe", non, au commencement était l'émotion.
Hello Arewenotmen?,
Voilà, nous y sommes, au prochain chapitre, nous allons basculer cul par-dessus tête...
Intéressant de voir que ton style peut combiner un côté presque "baroque", au sens d'une accumulation de détails et d'un lyrisme échevelé, à cet art de l'ellipse..
@ Romain,
Je te serais gré de changer de pseudo car il m'appartient ainsi que mon avatar, je l'utilise pour mes propres blogs que j'anime depuis plus de 5 ans et chacun de ces blogs ont la signature projectobject, j'ai tout fais pour ces blogs restent hermétique à quiconque sans mon autorisation mais je suis conscient que l'on puisse y accéder aussisans mon accord mais il faut être très malin, de ces blogs j'ai en effet alimentée le blog de Jimmy mais je m'en suis retiré pour l'instant ne travaillant que sur l'ordinateur de la structure qui m'accueille pour mes réaliser mes travaux...
Probable que j'ai oublié de faire le nettoyage de vigueur quand j'ai quitté la salle informatique... ils sont toujours pressés lors de la fermeture des bureaux et que tu sois passé derrière et tomber sur un de mes dossiers (car ça m'arrive d'ouvrir des dossiers d'un prédécesseur), nous sommes nombreux pour l'utilisation d'un ordi et de l'imprimante, toutefois cela fais plus de 15 jours que je n'ai mis les pieds dans la structure, si tel est le cas quand je reviens de tournage je vais sérieusement gueuler, car les dossiers créés se doivent d'être confidentiels... Aussi j'espère à une erreur involontaire de ta part et non à une volonté préméditée de nuire.
Je doute toutefois de l'intention volontaire de nuire à l'image de projectobject, je n'y vois pas l'intérêt... Et je ne souhaite pas changer mes adresses MAILS mes comptent MEGA que je partage avec mes jolies compagnes et les cartes de visites au nom de projectobject
Alors j'ai autre chose à foutre que de te répondre pour cette mise au point, d'autant que je suis mis un à l'écart de ce blog tout en le suivant d'un oeil discret ayant un peu participé tout de même, lorsque j'avais un ordi à la maison.
Bien à Toi...
Projectobject
Tu vas avoir du mal à te détacher de ton personnage, la tournure personnelle des derniers épisodes font presque oublier la fiction, comme un portrait en creux.
Ce n'est pas désagréable.
Peut-être même avons nous ici un parfum d'intimité plus fort que d'habitude... Manquerait plus que Jimmyyii évoque l'ouverture d'un journal extime sur le web avec échange de musique et conflits d'identité et je commencerai à douter de mon existence réel.
à suivre... pour se rassurer
@ Jimmy,
Je suis très surpris de constater mon pseudo utilisé, je n'ai rien signé au nom de projectobject depuis plusieurs mois, sauf sur mes comptes MEGA mais je doute que celà puisse venir de là, soit "projectobject" est un nom toutefois banal liaison Zappa soit j'ai la flemme de changer régulièrement mes mots de passe pour éviter un piratage, mais la coïncidence est trop grande pour que puisse penser à une manipulation involontaire
Mon smartphone me fut dérobé il y a plus de deux ans, à cette époque j'aurais pu comprendre (on peut nuire via les contacts, via Facebook, via Blogger ou via tout autre réseau social, je devrais penser à me déconnecter systématiquement quand j'utilisé une plate-forme et surtout sous Androïd car j'ai l'impression que c'est plus facile d'entrer sur des comptes, je reçois quotidiennement des alertes de virus détectés, des mises en garde gouvernementale qui pourrit mon quotidien, mais je vais être désormais plus vigilant.
Cela peut aussi venir d'une inattention de ma part (cf. la réponse à Romain ) j'utilisé un PC mis à disposition pour des milliers de personnes dans diverses structures adaptées et j'ai probable laisser une trace... On tellement pris quand on travail un dossier que l'on oublié de faire le ménage sur l'ordinateur quand on a fini le travail (je pencherais plus pour cette probabilité).
Bon je constate que ton blog évolue tranquillement et c'est bien je suis régulièrement les posts mais j'avoue que pour moi la saison démarre en Fanfare entre tournage et dépôt de projets à des commissions culturelles à peine revenu de vacances déjà sur les genoux... Et bouffé par les insectes sur le lieu de tournage.
Bonne continuation et Bien à Toi.
projectobject
Hello Projectobject (le vrai),
Bon, déjà, je suis content d'apprendre que tu n'es pas Romain. Ce que j'ai du mal à comprendre, c'est que tu interviennes maintenant dans les commentaires, comment as-tu eu vent de cette affaire?
Je te souhaite bonne chance pour tes projets à venir.
Hi Devant,
Je ne cherche pas à me détacher de mon personnage. En fait, il y a un peu de moi dans presque tous les personnages, c'est moins fatiguant! Selon les chapitres, les gens qui me connaissent bien pourront m'y reconnaître davantage. Pour la petite histoire, dans les derniers, je serais plutôt Adrien que Jimmy Koule; je ne suis pas certain que ce soit ce que tu avais deviné, mais un investissement peut-être plus intime t'a sans doute frappé. Je ne vais pas évoquer le blog dans le feuilleton (même si j'y ai songé). Toi qui me suis depuis le début, tu vas te retrouver propulser au commencement (ou presque) au prochain épisode. J'avais offert cette ouverture très tôt, la suite va maintenant vous être dévoilée.
@Jimmy
Pendant mes pauses déjeuner je fais régulièrement le tour des blogs que je connais mais je réponds rarement car sur un smartphone c'est pas aisé, je tiens tour de même au courant de l'actualité.
Quand j'ai lu la réponse de Keith Michards à projectobject - je me suis demander ce que je venais foutre dans cette histoire... Mais dès mon retour je j'espère en connaître la raison et je vais pousser mon coup de gueule.
Donc soyons vigilants aux actes de piratage même sans conséquences, car un jour ce sera un projet entier qui puisse être volé surtout quand l'on travail sur des plates-formes informatiques diverses et mis en réseaux.
Bien à Tous.
projectobject
J'ai pris un peu de temps à te lire parce que j'avais ru comprendre que ce chapitre contenait un peu d'émotions et je ne voulais pas la gacher en te lisant à la va-vite n'importe quand.
J'ai moyennement adhéré au début. Si tu le souhaites, je développerai (mais c'est plus une question de style en quelque sorte). Puis petit à petit, tu installes un ton différent que tu parviens à transformer en une sorte de confession; Et là, le texte fonctionne. Il contient à la fois une forme de sagesse et de résignation, avec une belle retenue assez inhabituelle dans tes textes (sur ce point, on a du mal à se dire que c'est le même personnage, je pense que le décallage est un peu excessif (plus d'ailleurs par rapport aux chapitres de la rupture où Jimmy "sur-réagissait" en quelque sorte). Et ce ton de confession est habile parce qu'il nous prends à témoin et nous transforme en confident, ce qui augmente la proximité que l'on a avec le personnage.
J'ai moi aussi senti qu'il y avait un peu de toi, et si ce n'est pas totalement le cas, cela prouve combien cette partie est réussie.
Bon, quant au rebondissement final, je dirai presque quand il nous tombe dessus qu'il était attendu tellement tu en uses et abuses :)
Depuis plusieurs chapitres, ton récit est très flottant, il part un peu dans tous les sens avec des bons chronologiques. Je pense qu'il gagnerait par la suite à revenir à quelque chose qui ait plus d'unité (même si cela n'ôte en rien en sa qualité, c'est plus un ressenti de lectrice).
Voilà pour moi...
La relecture de l'ensemble des épisodes devrait probablement modifier la perception (pour le lecteur) (et peut-être la forme et le contenu pour son auteur) de cette oeuvre !
C'est très beau Jimmy. Ça sent la fin, clôture en beauté.
Mr ProjectObject
je suis désolé d'avoir utilisé vote page pour m'exprimer mais je reste un ignorant dans le domaine de l'informatique et il m'a été plus aisé de le faire ainsi
toutefois vous me semblez être un vieil acariâtre susceptible comme tout vieux sénile qui se respecte et ce n'est nullement de ma faute si vous êtes atteint de la maladie d'alzaeimer jusqu'à en oublier des documents dans un lieux publics
je n'avais nullement l'intention de vous hacker je ne savais simplement pas comment créer ma propre page c'est la première fois que je consulte un blog et ce grâce à vous
par respect pour votre grand âge je vais utiliser la formule de politesse qui se doit
je vous prie monsieur projectobject d'accepter mes plates excuses et de croire à l'expression de ma haute considération pour votre âge avancé
Mr Romain
Hello Audrey,
Tu as eu raison, il faut toujours prendre son temps. J'espère que ce n'est pas le seul chapitre contenant "un peu d'émotion"!
Je serai ravi, en effet, que tu développes en ce qui concerne le début.
Le ton peut changer en fonction des sujets, mais, surtout, à cause du décalage dans le temps. Ici, nous sommes beaucoup plus proche d'aujourd'hui, et ça change la donne.
Il n'y aura pas de rebondissement, puisque j'ai déjà raconté le drame; on va simplement y revenir, et je vais y ajouter une suite en deux grosses parties.
Il y a forcément une sorte de "flottement" et des bons chronologiques car je ne veux pas m'éterniser sur ce moment de la vie du narrateur, ce qui compte c'est de revenir au sujet principal de l'histoire et de la terminer. Ces chapitres ne sont que des ponts.
Hi Arewenotmen?,
Ce sera forcément plus facile à lire réuni en une seule pièce, si cela arrive un jour.
Hola Jonathan,
Merci pour le compliment, mais j'ai encore deux surprises à travailler.
Hello M. Romain (oui, en français, la contraction de Monsieur s'écrit ainsi, Mr., c'est en anglais),
Tu as débarqué en écrivant que mon texte était con, puis tu as critiqué la majorité des commentateurs et, aujourd'hui, tu fournis de fausses excuses insultantes.
Je vais rester calme. Si tu veux continuer à commenter, il va falloir que tu y mettes d'autres formes, sinon tu me verras contraint à supprimer tes messages.
Et pourquoi ça n'arriverait pas Jimmy ?!?
M. Jimmy
je ne cherche nullement à insulter je constate juste la nostalgie dans ce blog chacun y allant de sa colère quand l'on exprime des sentiments divers
je respecte vos vieux os comme je respecte ceux de mes parents
je suis pour vous l'arsenic pour vos vieilles dentelles
M. Romain
Un sacré humour ce Monsieur Romain... dont on se passerait volontiers (de l'un et de l'autre) !
@Romain
Le vieux sénile que je suis risque de te mettre un bourre-pif direct si je te chope.
La Bibliothèque Universitaire des Langues et des Civilisations tu dois évidemment connaître puisque je suis persuadé que tu as piraté mon pseudo dans ce lieu sous le système Linux que je ne maîtrise pas...
J'en vois des petit cons de ton espèce qui squattent les posts informatiques pour jouer en ligne ou se taper un film en glandant au détriment de ceux qui veulent étudier.
L'année universitaire démarre mais je t'ai dans le viseur et crois-moi je ne te louperais pas.
À bon entendeur... Salut.
Projectobject.
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